Depuis que Céline Amaudruz a été victime d’une agression impliquant des menaces de récidive et de mort à l’Université de Genève, la situation n’a cessé de s’aggraver. Dimanche passé, elle était présente sur un stand UDC et a été à nouveau menacée par une militante revendiquant sa proximité avec les agresseurs de l’Université de Genève. L’UDC exige que le Ministère public agisse pour protéger Céline Amaudruz et la population genevoise des dérives violentes des militants de l’ultra gauche.
Genève vit au rythme de la campagne électorale et, comme tous les autres partis, l’UDC présente ses candidates et candidats à la population en tenant un stand chaque weekend. Mais contrairement aux autres partis, les candidates et candidats UDC sont régulièrement et gratuitement pris à partie. C’est ce qui s’est une nouvelle fois passé dimanche 19 février 2023.
Alors que les candidates et candidats de l’UDC, dont Céline Amaudruz, présidente de l’UDC Genève et conseillère nationale, menaient campagne une militante a insulté, agressé, puis enfin menacé les personnes présentes et a visé tout particulièrement Céline Amaudruz à plusieurs reprises. Elle a récidivé les menaces qui ont été proférées à l’Université de Genève le 21 décembre 2022, puis sur un site internet de l’ultra-gauche. Alors que plusieurs membres de l’UDC ont tenté de calmer la situation en tentant d’éloigner l’agresseuse, cette dernière n’a cessé de provoquer et de chercher ouvertement la confrontation. La police a finalement été appelée et a dû intervenir.
L’UDC est particulièrement inquiète de la tournure violente et persistante que prennent les menaces contre Céline Amaudruz. Notre parti rappelle que les menaces et agressions subies par notre présidente ont été largement minimisées par la gauche politique et syndicale genevoise et que même le rectorat de l’Université de Genève a temporisé plusieurs semaines avant de déposer plainte. Notre parti attend maintenant une véritable prise de conscience des autres partis et des autorités quant à cette situation alarmante. En particulier, on ignore toujours à ce stade si le Ministère public a ouvert une procédure pour donner suite à la plainte pénale déposée par Céline Amaudruz.
Le secrétariat général du parti également visé
La nouvelle agression et les nouvelles menaces contre Céline Amaudruz et les candidates et candidats UDC aux élections cantonales ne sont pas les seules exactions commises par les militants violents de l’ultra-gauche genevoise contre l’UDC.
Le secrétariat général de l’UDC Genève a également été visé par un acte de vandalisme et d’intimidation. La porte d’accès aux bureaux a été marquée d’inscriptions insultantes et de symboles anarchistes. Au-delà du litige matériel subi, cette nouvelle attaque est vécue comme une véritable intimidation contre les collaboratrices et les collaborateurs ainsi que contre les militantes et militants du parti.
L’ultra-gauche a d’ores et déjà annoncé qu’elle troublera l’ordre du public le 18 mars prochain afin de tenter d’empêcher l’UDC de rassembler ses déléguées et délégués à Genève. Notre parti démocratique ne reculera pas contre l’autoritarisme et la violence des agresseurs de Céline Amaudruz et de leurs complices.
Pour plus d’informations
Michael Andersen, conseiller municipal à Vandoeuvres, candidat au Conseil d’Etat, 079 330 40 72
Cédric Pilatti, membre du Comité directeur, candidat au Grand Conseil, 076 416 37 16